frenchcolin
jeudi 6 septembre 2012
16h30 jeudi 6 septembre 2012
jeudi 24 mai 2012
16h00 jeudi 24 mai 2012
dimanche 29 avril 2012
18h00 Dimanche matin le 29 avril 2012
13h00 Dimanche matin le 29 avril 2012
10h30 Dimanche matin le 29 avril 2012
06h30 Dimanche matin le 29 avril 2012
samedi 28 avril 2012
Samedi le 28 avril 2012
jeudi 26 avril 2012
Mercredi le 25 avril 2012
lundi 19 mars 2012
Lundi le 19 mars 2012
Aujourd’hui j’ai fini le livre que nous lisons au mois de mars pour notre club de lecture. L’extension du domaine de la lutte, par Michel Houellebecq. Oh là là, très divertissant, mais qu’est-ce qu’il signifie, ce livre??? Les parties philosophiques du livre je n’ai pas comprises du tout. Quelle horreur!
Pas de réponse encore de David, un autre membre de notre club. Je lui ai envoyé un mail hier pour proposer qu’on se retrouve de temps en temps pour discuter le livre du mois. À deux, il y aura plus d’occasion pour parler entre nous, que pendant les réunions du groupe, où il est difficile parfois d’interrompre la rumeur générale, qui fait la cohue ! Et toutes les femmes qui ne peuvent pas s’empêcher de piapiater !!!!
Lois est sortie en ville ce matin pour bavarder avec ses copines Debbie et Marie-Ann chez le café Hoopers dans la promenade, établissement qui a le vent en poupe en ce moment.
J’ai passé du temps à regarder le BFM-TV, qui bien entendu se consacre aujourd’hui uniquement à la tuerie à Toulouse devant l’école juive dans la ville. De la barbarie presque incroyable, non?
dimanche 12 février 2012
Dimanche 12 février 2012
J’ai lu l’introduction du livre qui est le livre du mois pour le club de lecture de Hazel. Le titre « Bonjour paresse » par Corinne Maier. O là là ! Je ne comprends totalement pas tous les sentiments, mais c’est bien clair que c’est un réquisitoire contre l’entreprise. Moi je ne suis pas contre l’entreprise, pourtant je suis contre les gourous du management, et surtout contre les cours inutiles que doivent subir les employés pour obtenir de la motivation et d'autres qualités désirées. A mon avis, il n’y a pas aucune meilleure manière de motiver les employés que de faire en sorte que les managers eux-mêmes soient motivés, et en plus soient approchables du personnel. Je me demande quel est la relation entre ce livre et le célèbre Bonjour tristesse???
lundi 21 mars 2011
Lundi le 21 mars 2011
dimanche 20 mars 2011
Dimanche le 20 mars 2011
06h00 J’ai lu mes mails et j’ai répondu à un message de notre fille cadette, Sarah.
06h15 J’ai fait mes exercices des hanches, et je me suis habillé.
06h30 Je suis descendu et je suis sorti pour faire une petite promenade le long de la petite allée près de notre maison. J’ai ramassé le détritus et l’ai jeté à la poubelle. J’ai sorti la voiture et l’a garée devant la maison.
07h00 J’ai pris le petit déjeuner: une pomme, du porridge sucré avec de la mélasse raffinée, et une tasse de thé. J’ai pris mes médicaments.
07h30 J’ai donné à manger à Polly, notre petite chatte, et je l’ai laissée sortir dans le jardin de derrière. Je me suis déshabillé et je me suis lavé et rhabillé.
07h45 J’ai servi à Lois au lit du thé et une tartine de confiture pour prendre avec ses médicaments. On a parlé une demi-heure.
08h30 Je suis descendu et j’ai commencé à rédiger mon blog dans la salle à manger.
09h00 J’ai fait la vaisselle. Lois s’est levée. J’ai fait du café, Lois a préparé son petit déjeuner et on a parlé pendant qu’elle mangeait. Je suis sorti au jardin de derrière. J’ai déchiré un gros carton et j’ai jeté au bac de recyclage.
09h45 Lois est partie à l’église. J’ai mis à jour mon blog.
dimanche 27 février 2011
Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part (Anna Gavalda)
V Permission
Cette histoire traite d’un jeune militaire, qui part en permission pour le weekend de son anniversaire, à l’invitation de sa mère. Il fait le voyage par le train.
Dès le début de l’histoire le lecteur prend conscience que le jeune homme a un frère ainé, et il se compare sans arrêt à ce frère, qui s’appelle Marc. Le jeune homme n’est qu’un soldat de deuxième pompe, mais son frère ainé est officier. Dans le train le jeune homme mange un sandwich minable, et il voit deux filles mignonnes, avec lesquelles il est trop timide de parler. Il réfléchit que son frère ainé se plaindrait du sandwich et draguerait les femmes.
Le jeune homme préfère travailler dans le manuel. Il préfère que “ce soit les mains qui réfléchissent“. Mais le lecteur prend conscience que le jeune homme ne s’entends pas très bien avec ses camarades dans l’armée, qui selon lui “n’ont rien“, c’est-à-dire ils manquent totalement de profondeur. Ils sont “comme des fantômes“.
Il arrive à sa ville et descend du train. Ici le lecteur lit la phrase qui constitue le titre de ce livre, “Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part“, qui souligne la solitude du jeune homme.
Naturellement, personne ne l’attend. Finalement il arrive chez lui et le portail de la maison est fermé et la maison est dans l’obscurité. Il dit que “c’est le comble“, et qu’il a comme une envie de chialer là. Mais il reprend courage quand ses chiens le saluent, et quand il entre dans la maison, il trouve une fête de surprise organisée par sa mère, sa famille, surtout son frère, et tous ses amis sont là.
Le jeune soldat s’amuse très bien pendant la fête, mais là aussi il parait que son frère prouve encore une fois sa supériorité en étant accompagné de la jeune femme, que son frère cadet a toujours convoitée, Marie.
Pendant la fête, on prend conscience d’autres exemples de la supériorité de Marc. À l’école de voile, Marc apprend facilement, et toutes les filles l’adorent, tandis que son frère cadet a mal de mer. À propos, la belle Marie aussi a participé à ce stage de voile.
À la fin de la soirée, au sou-sol, les deux frères jouent au baby-foot pour la fille, mais Marc gagne. Les filles se couchent au premier étage, et les garçons au second.
Le jeune soldat se couche sur le canapé dans le salon, “pour qu’on ne vienne plus le déranger“. Mais il ne peut pas s’endormir. Il commence à entendre du bruit dans la pièce, et allume la lumière. Il voit Marie, nue, au milieu de la pièce en train de s’emballer de papier cadeau.
La fin ironique de l’histoire: Marie est en train de s’attacher de la ficelle rouge autour de la taille et le jeune soldat lui dit de ne pas s’emballer. Il se rend compte que cette phrase a une autre signification que la physique: c’est-â-dire, ne va pas trop vite, je ne suis qu’un soldat de deuxiéme pompe, j’ai toujours mal de mer, je suis minable etc etc...
samedi 26 février 2011
Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part (Anna Gavalda)
V Ambre
Cette histoire s’agit d’un homme, un musicien à succès, qui a bien conscience qu’il a trente-huit ans. Il semble qu’il a oublié une bonne partie de sa vie précédente, surtout les filles qu’il a connu. En plus il ignore tout des certains grands évènements qui se sont déroulés récemment dans le monde – par exemple il n’a pas entendu parler de la guerre du Golfe. Il semble qu’à l’époque il était un drogué.
En 1991, l’homme s’activait dans un studio d’enregistrement. Un collègue Fred fait en sorte qu’une fille photographe le suive pendant une tournée. Le musicien accepte à contrecoup, mais pour quelconque raison il s’intéresse à la fille dès qu’il la voit, et exceptionnellement, c’est une expérience dans sa vie récente, qu’il n’a pas oubliée. Ses petit seins lui plaisent, et sa façon de le vouvoyer. Elle s’appelle Ambre.
Ambre accompagne le musicien sur la tournée. Ils voyagent en voiture luxueuse. Ambre vit avec les choristes, et le musicien prend un peu ses distances, parce qu’il n’aime pas mélanger le sexe et le boulot.
À la fin de la tournée, pendant le dîner des adieux, il commence à la baratiner, mais il se rend compte qu’il a trop bu pour la baiser convenablement, et il abandonne l’idée.
Quelque mois plus tard, il retrouve Ambre dans son petit appartement avec des choristes. Ils boivent beaucoup de tequila. Une fois claquemurés dans la cuisine derrière une porte fermée à clé, elle lui montre les photos qu’elle a prises. Surprise, dans les photos on voit seulement les mains du musicien. Ambre dit que c’est la seule chose qui n’est pas déglingué chez le musicien. Le musicien lui demande si son cœur aussi est déglingué, qui semble être le début de leur petite aventure.