jeudi 6 septembre 2012

16h30 jeudi 6 septembre 2012


05h00 je me suis réveillé, et me suis levé pour lire mes mails et faire un test de mon vocabulaire français sur l'ordinateur, en buvant du thé vert (1 litre !).
06h45 je suis descendu et j’ai préparé mon petit déjeuner : porridge (boullie d’avoine) et une tartine.
07h15 je me suis rasé (30 minutes)
07h45 j’ai fait deux tasses de thé et nous l’avons bu à deux  dans la chambre à coucher.
08h15 je suis descendu, et je suis sorti dans le jardin derrière la maison pour arracher les mauvaises herbes dans le carré de légumes, autour des choux de Bruxelles, qui ont été mauvais cette année.
09h30 Lois est sortie aussi et a commencé à tailler les arbustes près de la maison.
10h30 Nous avons fait une pause pour boire un café à deux.
10h45 Nous avons repris notre travail.
12h30 Nous avons déjeuné sur la terrasse : sandwich au fromage et soupe de tomate, avec un petit pain. Comme dessert, un orange et une tasse de thé vert.
13h30 Je suis monté à l’étage pour faire la sieste. Lois est resté dans le jardin pour jeter dans un sac poubelle les branches coupées, mais après 15 minutes elle l’a abandonné parce qu’elle avait mal de dos. Puis elle m’a rejoint dans notre chambre pour se reposer un peu le dos, les épaules, les bras etc.
14h30 Les deux témoins de Jéhovah ont sonné à la porte. Nous avons fait semblant que nous n’étions pas là. Ils s’en sont allés. Lois s’est endormie, et je me suis habillé sans bruit et je suis descendu reprendre mon travail dans le jardin. J’ai fini la tâche de jeter dans un sac poubelle les branches, ce qui était la tâche que Lois avait abandonnée parce qu’elle avait mal de dos.
15h30 Lois est descendue et est sortie et nous avons pris une tasse de thé avec une tartine confiture sur le terrasse.
16h00 Lois est entrée dans la maison pour lire ses mails, tandis que moi, j’ai fini mon travail dans le potager.

jeudi 24 mai 2012

16h00 jeudi 24 mai 2012


Il faisait chaud encore aujourd’hui (max 25 degré?). Les ouvriers du bâtiment ont enlevé quelques kilogrammes de terre accumulés au-delà de la nouvelle terrasse. Nous voulons qu’on construite un petit chemin de la terrasse jusqu’au vieux chemin principal. Ce chemin principal mène du serre jusqu’au fond du jardin, au-delà des carrés de légumes. La terre qu’ils ont enlevée était plein de pierres lourdes - pourquoi au juste? La deuxième benne est encore pleine à ras-bord - oh là là!

dimanche 29 avril 2012

18h00 Dimanche matin le 29 avril 2012

La pluie a enfin cessé. C’est incroyable ça ! Ce soir on va au Exmouth Arms pour le pub quiz. Notre équipe – Lois, Sarah, Francis et moi, « The Only Way is Cheltenham » - a une mauvaise réputation dans ce pub quiz, mais tant pis. Surtout il y a toujours des questions sur les actus de la semaine, et Lois et moi nous ne lisons que rarement les journaux, et nous ne regardons jamais les téléjournaux, et là ce sera la Bérézina !!! 

13h00 Dimanche matin le 29 avril 2012


Quel temps abominable ! Je pense qu’il va pleuvoir toute la journée. L’avantage principal : je ne peux pas faire du jardinage – j’adore !!!!

10h30 Dimanche matin le 29 avril 2012


Le chapitre du livre de Colin MvEvedy que je lis aujourd’hui porte sur la ville d’Apollonia (coïncidence : le prénom de la copine rom d’Herman dans Die Zweite Heimat). Une ville en Libye ancien qui était rebaptisée par les chrétiens et maintenant s’appelle Marsa Suza, le port de Cyrène. Apollonia était la capitale du Libye Supérieur jusqu’à l’arrivée des arabes en 642. Ouahhh… 20 pour cent de la ville est caché sous la mer maintenant ! 

06h30 Dimanche matin le 29 avril 2012


Le tableau dont Lois a hérité de sa mère : quelle mystère ! Trois filles très jeunes (3, 4 et 9 ans ?) dans un grand salon victorien. On pense en ce moment que l’artiste (sa signature l’identifie comme J. Betts) était servante/domestique/bonne à la maison de la famille Muntz, qui habitait Handsworth lors du recensement de l’année 1841. Mais va savoir !!! George Frederick Muntz était homme d’affaires et député whig (libéral) à l’époque. Mais pourquoi est-ce que ce tableau a fini par être dans la possession de la mère de Lois ???? Va savoir (encore une fois !) !!!!
   le tableau de J Betts (hmmmm ouiii...)


samedi 28 avril 2012

Samedi le 28 avril 2012



Ce matin on a fait les courses à Tesco à Bishops Cleeve, puis on a fait une promenade sur Cleeve Hill avec Sarah et son énorme chien terrifiant, qui s’appelle Buddy. Buddy a fait, comme d’habitude, la connaissance de plusieurs autres chiens et moutons, mais pas de bagarres aujourd’hui! Ouf !

Avant de partir pour faire des courses j’ai envoyé à notre groupe mon post-scriptum sur la conception des « non-dits » et des fantômes dans les œuvres de Marie Darieussecq. Parmi les membres du club de lecture de Hazel, jusqu’ici  seuls moi et David avons mis par écrit nos pensées.  Allez-y, les guys, faites-nous part de vos pensées ! Je crois que c’est bien plus stimulant de lire des critiques et des réactions en avance sur la réunion de mardi !

Dans le livre « Cities of the Classical World » par Colin McEvedy, je lis en ce moment le chapitre qui porte sur la ville d’Aphrodisias  - la ville actuelle de Geyre (en Turquie). Ouahhh !!!! Sugoi  (comme on dit au Japon !) !!!! Quelle ville ! L’industrie principale était la production de millions de petites statuettes bon marché, mais de mauvaise qualité, à l’effigie des dieux, des empereurs, des administrateurs locaux etc. etc. !!! Ouahhh (encore une fois !) !!!!!

jeudi 26 avril 2012

Mercredi le 25 avril 2012


C’était le jour de notre classe français U3A, donc quelle effervescence , e toute la journée. Il a fallu imprimer les exercises, les textes, regarder la video de cette semaine – oh là là !

L’après-midi, Shirley, Tina, Sylvie et Derek sont venus. Très jouissif. Le sujet de texte : « où est-ce qu’on voudrait vivre si on ne pouvait pas vivre en Angleterre », ou «où est-ce qu’on voudrait voyager pour des vacances, endroit où on n’est jamais allé ». Trudi, Vera et Diana sont en vacances en ce moment.

La soirée était tranquille. Lois a dû sortir pour participer à une réunion d’un comité de son église. Après son retour nous avons regardé un documentaire télévisé, très intéressant, sur l’amitié de la reine Victoria et son serviteur indien, dans les dernières années de sa vie.

lundi 19 mars 2012

Lundi le 19 mars 2012

Aujourd’hui j’ai fini le livre que nous lisons au mois de mars pour notre club de lecture. L’extension du domaine de la lutte, par Michel Houellebecq. Oh là là, très divertissant, mais qu’est-ce qu’il signifie, ce livre??? Les parties philosophiques du livre je n’ai pas comprises du tout. Quelle horreur!

Pas de réponse encore de David, un autre membre de notre club. Je lui ai envoyé un mail hier pour proposer qu’on se retrouve de temps en temps pour discuter le livre du mois. À deux, il y aura plus d’occasion pour parler entre nous, que pendant les réunions du groupe, où il est difficile parfois d’interrompre la rumeur générale, qui fait la cohue ! Et toutes les femmes qui ne peuvent pas s’empêcher de piapiater !!!!

Lois est sortie en ville ce matin pour bavarder avec ses copines Debbie et Marie-Ann chez le café Hoopers dans la promenade, établissement qui a le vent en poupe en ce moment.

J’ai passé du temps à regarder le BFM-TV, qui bien entendu se consacre aujourd’hui uniquement à la tuerie à Toulouse devant l’école juive dans la ville. De la barbarie presque incroyable, non?

dimanche 12 février 2012

Dimanche 12 février 2012

J’ai lu l’introduction du livre qui est le livre du mois pour le club de lecture de Hazel. Le titre « Bonjour paresse » par Corinne Maier. O là là ! Je ne comprends totalement pas tous les sentiments, mais c’est bien clair que c’est un réquisitoire contre l’entreprise. Moi je ne suis pas contre l’entreprise, pourtant je suis contre les gourous du management, et surtout contre les cours inutiles que doivent subir les employés pour obtenir de la motivation et d'autres qualités désirées. A mon avis, il n’y a pas aucune meilleure manière de motiver les employés que de faire en sorte que les managers eux-mêmes soient motivés, et en plus soient approchables du personnel. Je me demande quel est la relation entre ce livre et le célèbre Bonjour tristesse???

lundi 21 mars 2011

Lundi le 21 mars 2011

04h30 je me suis levé, je me suis habillé et je me suis installé devant l’ordinateur dans la chambre d’amis pour m’interroger sur le vocabulaire français et lire mes mails, regarder mon compte en banque, voir les dernières nouvelles, la météo etc.
06h00 j’ai fait mes exercices des hanches, puis je suis descendu. Lois dormait toujours.
07h00 je suis rentré. J’ai pris le petit déjeuner: une pomme et du müesli, et une tasse de thé. J’ai pris mes médicaments et je me suis rasé.
07h30 j’ai laisser notre petite chatte, Polly, sortir dans le jardin de derrière, et je lui ai donné à manger. Je me suis déshabillé, je me suis lavé, et je me suis rhabillé.
08h00 j’ai servi du thé à Lois au lit et on a parlé une demi-heure.
08h30 j’ai passé chez le médecin pour remettre l’ordonnance renouvelable pour les médicaments que je prends pour mon hypertension.
09h30 Je suis allé à la banque pour ouvrir un compte en banque dans mon rôle d’exécuteur testamentaire. Lois m’a accompagné.
11h00 Nous sommes allés à la chambre mortuaire pour remettre le programme et la CD pour la service funèbre de mercredi pour ma pauvre mère.
11h30 Nous avons passé à la pharmacie pour rendre au pharmacien les médicaments périmés que nous avons trouvé dans la maison de ma pauvre mère.
12h00 Nous avons passé à la maison de ma pauvre mère pour prendre son courrier et augmenter le chauffage pour mon frère, qui arrive ce soir.
13h00 On a déjeuné à deux: agneau rôti avec pommes de terre et chou frisé.
14h00 Je suis monté à l’étage pour faire un petit somme. En attendant Lois a fait le repassage dans la buanderie.
15h00 Je me suis levé et je me suis installé devant l’ordinateur pour faire des transactions bancaires sur internet.
16h00 Nous avons pris du thé à deux dans le salon.

dimanche 20 mars 2011

Dimanche le 20 mars 2011

05h00 Je me suis interrogé sur le vocabulaire français à l’aide de mon ordinateur et du logiciel Supermemo dans la chambre d’amis. Lois dormait encore.
06h00 J’ai lu mes mails et j’ai répondu à un message de notre fille cadette, Sarah.
06h15 J’ai fait mes exercices des hanches, et je me suis habillé.
06h30 Je suis descendu et je suis sorti pour faire une petite promenade le long de la petite allée près de notre maison. J’ai ramassé le détritus et l’ai jeté à la poubelle. J’ai sorti la voiture et l’a garée devant la maison.
07h00 J’ai pris le petit déjeuner: une pomme, du porridge sucré avec de la mélasse raffinée, et une tasse de thé. J’ai pris mes médicaments.
07h30 J’ai donné à manger à Polly, notre petite chatte, et je l’ai laissée sortir dans le jardin de derrière. Je me suis déshabillé et je me suis lavé et rhabillé.
07h45 J’ai servi à Lois au lit du thé et une tartine de confiture pour prendre avec ses médicaments. On a parlé une demi-heure.
08h30 Je suis descendu et j’ai commencé à rédiger mon blog dans la salle à manger.
09h00 J’ai fait la vaisselle. Lois s’est levée. J’ai fait du café, Lois a préparé son petit déjeuner et on a parlé pendant qu’elle mangeait. Je suis sorti au jardin de derrière. J’ai déchiré un gros carton et j’ai jeté au bac de recyclage.
09h45 Lois est partie à l’église. J’ai mis à jour mon blog.
11h00 J’ai fait 9 km sur mon vélo d’appartement, et après ça j’ai fait un peu de musculation.
12h00 J’ai préparé un pot de thé, et alors que le thé infusait, j’ai préparé le déjeuner: sandwichs de pepperoni et concombre, et tomates cerises. J’ai mis les sandwichs et les tomates dans deux petites barquettes, et je les ai rangées dans le frigo.
12h30 j’ai fait le lit et j’ai allumé la couverture chauffante, parce que j’ai l’habitude de faire un petit somme après le déjeuner.
12h45 J’ai sorti les factures impayées de ma mère (qui est morte il y a deux semaines), parce que demain je dois ouvrir un compte bancaire dans mon rôle d’exécuteur testamentaire.
13h00 Lois est rentrée. J’ai chauffé de la soupe au céleri et aux épices pour prendre avec les sandwichs, et nous avons déjeuné à deux.
13h30 Lois a fait la vaisselle et s’est assise devant l’ordinateur pour lire ses mails. Moi, j’ai essuyé la vaisselle et puis je suis monté à l’étage, et je me suis couché sur le lit pour faire un petit somme.
14h30 Je me suis levé
15h00 Nous avons fait une petite promenade autour du village.
15h30 Nous sommes rentrés et avons pris du thé à deux dans la salle-à-manger.
16h00 J’ai repris ma lecture de la nouvelle “Clic-clac“ dans le livre d’Anna Gavalda intitulé “Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part“. C’est le livre que je lis en ce moment pour le club de lecture dont je suis membre.
17h00 j’ai fini de lire cette nouvelle.
17h30 Nous avons dîné à deux devant la télé dans le salon: agneau rôti avec pommes de terre et chou frisé. Nous avons vu une émission de Time Team.
18h30 J’ai fait la vaisselle et j’ai fait du café.
19h00 On a vu une vidéo d’une émission sur le peuple Amish de Pennsylvania, qu’on a enregistré il y a quelque jours.
20h00 On a ensuite vu une émission de Niall Ferguson sur la différence entre l’Amérique du Nord et l’Amérique du Sud, en ce qui concerne la développement historique, en particulier la propriété foncière et les conséquences par rapport à la prosperité.
21h00 J’ai préparé le petit déjeuner pour demain matin. J’ai envoyé au lit notre chatte, Polly, dans la buanderie. J’ai stationné la voiture devant le garage. Je me suis couché.

dimanche 27 février 2011

Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part (Anna Gavalda)

V Permission

Cette histoire traite d’un jeune militaire, qui part en permission pour le weekend de son anniversaire, à l’invitation de sa mère. Il fait le voyage par le train.

Dès le début de l’histoire le lecteur prend conscience que le jeune homme a un frère ainé, et il se compare sans arrêt à ce frère, qui s’appelle Marc. Le jeune homme n’est qu’un soldat de deuxième pompe, mais son frère ainé est officier. Dans le train le jeune homme mange un sandwich minable, et il voit deux filles mignonnes, avec lesquelles il est trop timide de parler. Il réfléchit que son frère ainé se plaindrait du sandwich et draguerait les femmes.

Le jeune homme préfère travailler dans le manuel. Il préfère que “ce soit les mains qui réfléchissent“. Mais le lecteur prend conscience que le jeune homme ne s’entends pas très bien avec ses camarades dans l’armée, qui selon lui “n’ont rien“, c’est-à-dire ils manquent totalement de profondeur. Ils sont “comme des fantômes“.

Il arrive à sa ville et descend du train. Ici le lecteur lit la phrase qui constitue le titre de ce livre, “Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part“, qui souligne la solitude du jeune homme.

Naturellement, personne ne l’attend. Finalement il arrive chez lui et le portail de la maison est fermé et la maison est dans l’obscurité. Il dit que “c’est le comble“, et qu’il a comme une envie de chialer là. Mais il reprend courage quand ses chiens le saluent, et quand il entre dans la maison, il trouve une fête de surprise organisée par sa mère, sa famille, surtout son frère, et tous ses amis sont là.

Le jeune soldat s’amuse très bien pendant la fête, mais là aussi il parait que son frère prouve encore une fois sa supériorité en étant accompagné de la jeune femme, que son frère cadet a toujours convoitée, Marie.

Pendant la fête, on prend conscience d’autres exemples de la supériorité de Marc. À l’école de voile, Marc apprend facilement, et toutes les filles l’adorent, tandis que son frère cadet a mal de mer. À propos, la belle Marie aussi a participé à ce stage de voile.

À la fin de la soirée, au sou-sol, les deux frères jouent au baby-foot pour la fille, mais Marc gagne. Les filles se couchent au premier étage, et les garçons au second.

Le jeune soldat se couche sur le canapé dans le salon, “pour qu’on ne vienne plus le déranger“. Mais il ne peut pas s’endormir. Il commence à entendre du bruit dans la pièce, et allume la lumière. Il voit Marie, nue, au milieu de la pièce en train de s’emballer de papier cadeau.

La fin ironique de l’histoire: Marie est en train de s’attacher de la ficelle rouge autour de la taille et le jeune soldat lui dit de ne pas s’emballer. Il se rend compte que cette phrase a une autre signification que la physique: c’est-â-dire, ne va pas trop vite, je ne suis qu’un soldat de deuxiéme pompe, j’ai toujours mal de mer, je suis minable etc etc...

samedi 26 février 2011

Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part (Anna Gavalda)

V Ambre

Cette histoire s’agit d’un homme, un musicien à succès, qui a bien conscience qu’il a trente-huit ans. Il semble qu’il a oublié une bonne partie de sa vie précédente, surtout les filles qu’il a connu. En plus il ignore tout des certains grands évènements qui se sont déroulés récemment dans le monde – par exemple il n’a pas entendu parler de la guerre du Golfe. Il semble qu’à l’époque il était un drogué.

En 1991, l’homme s’activait dans un studio d’enregistrement. Un collègue Fred fait en sorte qu’une fille photographe le suive pendant une tournée. Le musicien accepte à contrecoup, mais pour quelconque raison il s’intéresse à la fille dès qu’il la voit, et exceptionnellement, c’est une expérience dans sa vie récente, qu’il n’a pas oubliée. Ses petit seins lui plaisent, et sa façon de le vouvoyer. Elle s’appelle Ambre.

Ambre accompagne le musicien sur la tournée. Ils voyagent en voiture luxueuse. Ambre vit avec les choristes, et le musicien prend un peu ses distances, parce qu’il n’aime pas mélanger le sexe et le boulot.

À la fin de la tournée, pendant le dîner des adieux, il commence à la baratiner, mais il se rend compte qu’il a trop bu pour la baiser convenablement, et il abandonne l’idée.

Quelque mois plus tard, il retrouve Ambre dans son petit appartement avec des choristes. Ils boivent beaucoup de tequila. Une fois claquemurés dans la cuisine derrière une porte fermée à clé, elle lui montre les photos qu’elle a prises. Surprise, dans les photos on voit seulement les mains du musicien. Ambre dit que c’est la seule chose qui n’est pas déglingué chez le musicien. Le musicien lui demande si son cœur aussi est déglingué, qui semble être le début de leur petite aventure.